Glossaire et lexique pour tout comprendre du vocabulaire de la toiture
Lorsque l’on aborde le monde de la toiture, il n’est pas rare de se sentir perdu face à des termes techniques tels que « noue », « solin » ou encore « arêtier ». Chaque élément joue un rôle clé dans la solidité et l’étanchéité d’un toit, et comprendre ce vocabulaire est essentiel pour bien suivre un projet de construction, de rénovation ou tout autre type de travaux. Ce glossaire vous offre une explication claire de tous les termes spécifiques liés à la toiture. Retrouvez ici toutes les définitions dont vous avez besoin pour maîtriser le langage technique de la couverture afin de pouvoir échanger avec votre couvreur.
Lexique du couvreur
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- Abergement : Pièce d’étanchéité en métal ou en plomb installée autour des éléments comme les cheminées ou les lucarnes pour éviter les infiltrations d'eau. Il assure la jonction étanche entre l'ouverture et la couverture. L’abergement est une pièce maîtresse pour protéger la toiture des intempéries.
- Aisante : Petite planche ou latte de bois utilisée dans la charpente pour renforcer les éléments de couverture. Elle joue un rôle essentiel dans la stabilité de la toiture. Souvent utilisée dans les maisons anciennes et traditionnelles.
- Aisselier : Élément en bois incliné qui relie une poutre à un poteau dans une charpente. Il renforce la structure en répartissant les charges sur l’ensemble de la charpente. On le trouve souvent dans les charpentes de grande envergure.
- Ancelle : Planche de bois utilisée dans la couverture de toitures pour soutenir les ardoises ou tuiles. Elle est couramment employée dans les maisons anciennes et joue un rôle dans la solidité de la toiture. Son utilisation est souvent liée aux constructions traditionnelles.
- Arbalétrier : Pièce inclinée dans une ferme de charpente qui soutient les pannes et les chevrons. Il joue un rôle important dans la répartition des charges et la stabilité de la toiture. C’est un élément central dans les charpentes traditionnelles.
- Ardoise d'approche : Ardoise spécialement taillée pour couvrir les zones complexes du toit comme les noues ou arêtiers. Elle assure l'étanchéité et une finition soignée dans les zones de bordures. Utilisée dans les maisons qui possède un revêtement en ardoise naturelle.
- Ardoise naturelle : Pierre plate utilisée pour couvrir les toits, durable et résistante aux intempéries. Très prisée dans les régions humides comme la Bretagne. Offre une esthétique sobre et classique, idéale pour les maisons traditionnelles.
- Ardoise synthétique : Fabriquée en fibres-ciment, elle imite l’ardoise naturelle tout en étant plus légère et économique. Utilisée dans des régions aux climats variés, elle offre une bonne alternative pour les budgets plus restreints. Elle est également résistante aux intempéries.
- Arêtier : L'arêtier est la ligne saillante formée par l’intersection de deux pans de toit inclinés, à un angle généralement supérieur à 90 degrés. Il est essentiel dans la structure d’une toiture à plusieurs versants, garantissant l’évacuation correcte des eaux de pluie. L’arêtier est souvent recouvert de tuiles particulières appelées tuiles d'arêtier pour assurer l'étanchéité de cette jonction.
- Arrêt de neige : Dispositif fixé sur les toits pour empêcher la neige de glisser brusquement en grosses quantités. Il protège les zones en contrebas comme les trottoirs ou les balcons. Ce système est indispensable dans les régions à forte neige.
- Avant-toit : L'avant-toit désigne la partie du toit qui dépasse des murs d’un bâtiment, formant un débord. Il protège les façades des intempéries, notamment de la pluie et des rayons du soleil. Cet élément de toiture contribue également à l’esthétique globale d’une construction.
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- Bande de doublis : La bande de doublis est une bande d'étanchéité utilisée sous la couverture, à la jonction entre le toit et un élément vertical, comme un mur ou une cheminée. Elle assure une bonne évacuation des eaux de pluie dans ces zones sensibles pour prévenir les infiltrations.
- Bande de rive : La bande de rive est un élément de finition, généralement en métal ou en bois, qui protège et recouvre le bord du toit au niveau des rives. Elle permet de protéger la charpente contre les intempéries et améliore l’esthétique de la toiture. Elle est également essentielle pour empêcher les eaux de pluie de s'infiltrer sous les tuiles ou ardoises.
- Bardeau de bois : Petite planche en bois, généralement en cèdre ou châtaignier, utilisée pour recouvrir les toits. Il est apprécié pour ses qualités isolantes et sa durabilité naturelle. Ce type de couverture est souvent employé dans les maisons traditionnelles et écologiques.
- Bec à neige : Élément en tôle ou en zinc installé sur les toits pour retenir la neige et éviter qu'elle ne tombe en masse. Il permet de protéger les gouttières et les zones en contrebas. Utilisé dans les régions où les chutes de neige sont fréquentes.
- Brisis : Le brisis est la partie inférieure d'une toiture à la Mansart, dont l’inclinaison est plus forte que celle du versant supérieur. Il permet de maximiser l’espace sous toiture et est caractéristique des architectures classiques françaises, comme celles des bâtiments haussmanniens.
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- Chantignole : Petite pièce de bois triangulaire fixée entre les chevrons pour renforcer l’assemblage. Elle améliore la stabilité et répartit les charges sur la charpente. Utilisée dans les charpentes traditionnelles pour leur solidité.
- Charpente alsacienne : Charpente traditionnelle visible dans les maisons à colombages d'Alsace. Elle utilise des poutres en bois massif et se caractérise par son esthétique apparente. Cette charpente est à la fois solide et élégante, emblématique du patrimoine alsacien.
- Charpente en lamellé-collé : Structure composée de couches de bois collées entre elles, permettant de couvrir de grandes portées sans poteaux intermédiaires. Elle est utilisée dans les constructions modernes pour son aspect esthétique et sa résistance. Très populaire pour les grandes constructions comme les gymnases ou halls industriels.
- Charpente traditionnelle : Charpente réalisée avec des techniques anciennes et des poutres en bois massif. Utilisant souvent des assemblages comme le tenon-mortaise, elle est reconnue pour sa solidité et sa durabilité. Ce type de charpente est typique des maisons anciennes ou à caractère historique.
- Chéneau : Le chéneau est une gouttière intégrée dans la maçonnerie, située à la jonction entre le toit et le mur. Il recueille les eaux pluviales pour les diriger vers des descentes. Contrairement aux gouttières pendantes, les chéneaux sont souvent dissimulés pour des raisons esthétiques.
- Chevron : Le chevron est une pièce de bois ou de métal, inclinée, qui soutient les éléments de couverture (tuiles, ardoises, etc.). Il est fixé sur les pannes et forme la structure principale sur laquelle repose la couverture. Les chevrons jouent un rôle essentiel dans la répartition des charges de la toiture.
- Chevron-arbalétrier : Pièce inclinée, partie intégrante de la charpente, reliant le faîtage à l’entrait pour soutenir les pannes. Il contribue à la répartition uniforme des charges sur la toiture. Très utilisé dans les fermes de charpente traditionnelles.
- Closoir : Élément d’étanchéité en métal ou en plastique utilisé pour sceller les faîtages et arêtiers d'une toiture. Il empêche les infiltrations tout en permettant la ventilation de la couverture. Le closoir est essentiel pour garantir la durabilité de la toiture.
- Collier à embase : Le collier à embase est un dispositif métallique utilisé pour fixer solidement les éléments de toiture ou de structure, notamment les gouttières ou les descentes pluviales. Il assure un maintien stable tout en résistant aux intempéries.
- Contre-latte : La contre-latte est une petite pièce de bois clouée perpendiculairement aux chevrons pour maintenir les liteaux et assurer une meilleure ventilation sous la couverture. Elle contribue à la durabilité de la toiture en évitant l’accumulation d’humidité sous les tuiles ou ardoises.
- Corniche : La corniche est un élément décoratif placé sous le bord du toit, souvent en pierre, bois ou plâtre. Elle sert à protéger la façade des infiltrations et des éclaboussures tout en apportant une touche esthétique. La corniche est particulièrement courante dans les constructions classiques.
- Couvre-joint : Le couvre-joint est une pièce plate ou moulurée placée sur une jonction entre deux matériaux pour assurer l’étanchéité et masquer les raccords. Il est souvent utilisé sur les toitures et les bardages pour éviter les infiltrations et donner une finition propre.
- Coyau : Petite pièce de bois placée à l’extrémité des chevrons pour prolonger la pente du toit et améliorer l’évacuation des eaux de pluie. Ce dispositif permet de mieux protéger les murs extérieurs contre les intempéries. Utilisé sur les toitures à forte pente, il améliore la protection de la façade.
- Coyer : Pièce de charpente courbée, souvent utilisée dans les charpentes traditionnelles pour renforcer les assemblages. Il sert à maintenir la solidité des chevrons ou des poutres. Ce type de pièce est caractéristique des charpentes anciennes.
- Crampon : Le crampon est un élément de fixation métallique utilisé pour maintenir fermement les tuiles ou ardoises sur la toiture. Il est souvent employé dans les régions soumises à des vents violents pour éviter le soulèvement des matériaux de couverture.
- Crochet à piquer : Le crochet à piquer est un dispositif de fixation des tuiles ou ardoises, utilisé pour les maintenir en place sur les liteaux. Il est enfoncé directement dans la tuile et s’accroche au liteau, garantissant une bonne tenue de la couverture.
- Crochet champlat : Le crochet champlat est un crochet métallique utilisé pour fixer les ardoises plates sur les toits. Il est plus large que le crochet standard et assure une meilleure stabilité des ardoises, particulièrement sur les toits exposés aux intempéries.
- Crochet embouti : Le crochet embouti est un dispositif de fixation métallique pour les tuiles ou ardoises, façonné par emboutissage pour une meilleure prise sur les matériaux. Il est conçu pour garantir une fixation solide même dans des conditions climatiques difficiles.
- Crochet chantourné : Le crochet chantourné est un crochet utilisé pour fixer les ardoises et tuiles de manière décorative et fonctionnelle. Sa forme courbée lui permet de mieux épouser les contours des matériaux de couverture et de renforcer leur maintien.
- Crochet mouluré : Le crochet mouluré est un crochet de fixation avec des décorations en relief, utilisé à la fois pour maintenir les ardoises ou tuiles et apporter une touche esthétique à la toiture. Il est souvent employé dans les bâtiments historiques ou de caractère.
- Cuvette d'angle : La cuvette d'angle est un élément d'étanchéité, souvent en zinc ou en plomb, utilisé dans les angles du toit pour diriger les eaux de pluie vers les gouttières ou chéneaux. Elle est cruciale pour empêcher les infiltrations dans les jonctions angulaires de la toiture.
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- Dôme : Le dôme est une structure voûtée et arrondie utilisée pour couvrir certains bâtiments. Il peut être orné d’un épi de faîtage pour des raisons décoratives. Les dômes sont typiquement utilisés sur des édifices prestigieux tels que les églises ou les bâtiments publics.
- Débords de toit : Les débords de toit sont les parties de la toiture qui dépassent du mur de la construction. Ils protègent la façade des intempéries en détournant les eaux pluviales et apportent également une protection contre les rayons du soleil. Ils participent à l’esthétique globale du bâtiment.
- Demi-enrayure : Pièce de bois courbée ou angulaire, utilisée pour renforcer les angles d'une charpente ou des lucarnes. Elle assure une répartition des charges entre les différentes parties de la toiture. On la retrouve souvent dans les charpentes traditionnelles.
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- Échandole : Plaque de bois utilisée dans la couverture de toits, semblable à un bardeau. Elle est souvent fabriquée en bois résistant comme le châtaignier et utilisée dans les régions où la couverture en bois est traditionnelle. Elle permet une bonne isolation et une résistance aux intempéries.
- Échantignole / Échantignolle : Petite pièce de bois en forme de coin utilisée pour maintenir les chevrons sur les pannes dans les charpentes traditionnelles. Elle renforce les points d’appui des chevrons pour assurer la stabilité de la charpente. Ce terme est souvent associé aux charpentes anciennes.
- Écran de sous-toiture : L'écran de sous-toiture est une membrane souple installée sous la couverture pour renforcer l’étanchéité de la toiture et protéger contre les infiltrations. Il empêche également l’air et la poussière de pénétrer dans les combles tout en permettant l’évacuation de l'humidité.
- Écrâve : Petite latte de bois ou de métal utilisée pour maintenir les ardoises ou tuiles en place sur les toits. Elle est essentielle dans les toitures en pente pour prévenir les déplacements de couverture. Son rôle est primordial pour l'étanchéité et la solidité du toit.
- Embarrure : Pièce de charpente, souvent en bois, placée aux angles pour renforcer la structure de la toiture. Elle est utilisée pour consolider les intersections entre différents pans de toit. Essentielle pour la stabilité générale de la charpente, surtout dans les grandes constructions.
- Enrayure : Assemblage circulaire de pièces de bois ou de métal utilisé pour former une base solide dans les toitures ou charpentes circulaires comme celles des clochers. Il assure une répartition uniforme des charges. Utilisé dans les charpentes complexes comme les coupoles ou dômes.
- Épi de faîtage : Élément décoratif placé au sommet d'un toit à la jonction des deux versants de la toiture. Souvent fabriqué en métal ou en terre cuite, il a aussi une fonction d'étanchéité en plus d’être esthétique. Il est couramment utilisé dans les toitures traditionnelles françaises.
- Essanne / Essente / Essis : Petites planches de bois fendues utilisées pour couvrir les toits, similaires aux bardeaux. Elles sont clouées sur les voliges pour former une couverture étanche. Ce type de matériau est particulièrement répandu dans les régions de montagne ou dans les constructions traditionnelles.
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- Faîtage (épi de) : Élément de faîtage en forme de pointe décorative placé au sommet d’une toiture. Il est utilisé pour sceller la jonction des deux pans de toit et pour apporter une touche esthétique à la couverture. Traditionnellement fabriqué en terre cuite, zinc ou métal.
- Fenêtre de toit (abergement d'une) : L’abergement d’une fenêtre de toit est la structure étanche entourant la fenêtre pour empêcher les infiltrations d’eau. Généralement en zinc ou en métal, il garantit la durabilité et l’étanchéité de l’installation. C’est un élément crucial pour les combles aménagés.
- Fenêtres de toit (types de) : Différents types de fenêtres de toit existent, notamment les fenêtres à projection, à rotation, ou fixes. Elles permettent d’apporter de la lumière dans les combles et d’améliorer l’aération des pièces sous toiture. Leur installation doit être accompagnée d’un abergement étanche pour éviter les infiltrations.
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- Garde neige : Barrière ou dispositif installé sur la toiture pour empêcher la neige de glisser brusquement et tomber en masse. Elle protège les zones situées sous le toit comme les trottoirs ou les accès aux bâtiments. Très utilisée dans les régions sujettes à de fortes chutes de neige.
- Gouttière (naissance de) : Partie initiale de la gouttière où les eaux de pluie s'écoulent en premier depuis le toit. Elle est située à la base de la pente du toit et est reliée aux descentes pluviales. Son bon fonctionnement est essentiel pour une évacuation efficace des eaux.
- Gouttière : La gouttière est un canal fixé le long du bord d'un toit pour recueillir et diriger les eaux de pluie vers les descentes pluviales. Elle évite ainsi les éclaboussures et l'érosion des fondations. Elle peut être fabriquée en zinc, PVC, aluminium ou cuivre, selon les besoins.
- Gouttière anglaise : La gouttière anglaise est une gouttière souvent plus large que les modèles traditionnels et installée sur des supports apparents. Elle est très utilisée au Royaume-Uni pour sa capacité à évacuer de grandes quantités d’eau. Elle est souvent en métal et suspendue au bord du toit.
- Gouttière de Laval ou lavalloise : Gouttière spécifique à certaines régions françaises, notamment Laval. Elle est intégrée à la toiture et permet une meilleure évacuation des eaux de pluie. Sa particularité réside dans sa forme et sa manière d'être fixée à la charpente.
- Gouttière havraise : Gouttière caractéristique de la région du Havre, utilisée dans les toitures régionales. Elle permet une gestion efficace des eaux pluviales tout en s’intégrant harmonieusement à la couverture. Son installation suit des règles précises pour assurer l’étanchéité.
- Gouttière lyonnaise : La gouttière lyonnaise est une gouttière caractérisée par une forme semi-ronde, utilisée traditionnellement dans la région lyonnaise. Elle est intégrée à la toiture pour une évacuation discrète et efficace des eaux de pluie. Elle est souvent en zinc ou en cuivre.
- Gouttière nantaise : Gouttière spécifique à la région nantaise, adaptée aux particularités climatiques locales. Sa forme et son installation diffèrent des autres types de gouttières régionales, notamment pour mieux supporter les fortes pluies. Elle fait partie intégrante de l'architecture locale.
- Gouttière pendante : Gouttière suspendue au bord du toit, souvent fixée à des crochets métalliques. Elle recueille les eaux de pluie et l'évacue vers des descentes pluviales. Ce type de gouttière est très répandu et facile à installer sur la majorité des toitures.
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- Dôme : Le dôme est une structure voûtée et arrondie utilisée pour couvrir certains bâtiments. Il peut être orné d’un épi de faîtage pour des raisons décoratives. Les dômes sont typiquement utilisés sur des édifices prestigieux tels que les églises ou les bâtiments publics.
- Débords de toit : Les débords de toit sont les parties de la toiture qui dépassent du mur de la construction. Ils protègent la façade des intempéries en détournant les eaux pluviales et apportent également une protection contre les rayons du soleil. Ils participent à l’esthétique globale du bâtiment.
- Demi-enrayure : Pièce de bois courbée ou angulaire, utilisée pour renforcer les angles d'une charpente ou des lucarnes. Elle assure une répartition des charges entre les différentes parties de la toiture. On la retrouve souvent dans les charpentes traditionnelles.
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- Jambonneau de gouttière : Support en forme de jambonneau utilisé pour maintenir les gouttières en place. Ce type de fixation, souvent en métal, assure la solidité et la durabilité de l’installation des gouttières. Il est particulièrement utilisé sur les toits en pente.
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- Lamellé-collé (charpente) : Charpente composée de plusieurs couches de bois collées entre elles, offrant une grande résistance et souplesse architecturale. Ce matériau permet de réaliser des structures légères tout en supportant de lourdes charges. Il est souvent utilisé pour couvrir de grandes portées sans poteaux intermédiaires, comme dans les gymnases ou halls.
- Liteau : Le liteau est une petite latte de bois ou de métal, fixée perpendiculairement aux chevrons, qui sert de support aux tuiles ou ardoises. Il permet de maintenir la couverture en place et joue un rôle clé dans la ventilation de la toiture.
- Lucarne chien assis : Le chien assis possède un toit plat ou très légèrement incliné, souvent utilisé pour apporter de la lumière et de l’aération des pièces habitables sous les toits. Elle est particulièrement répandue dans les constructions françaises et donne un aspect caractéristique aux toits.
- Lucarne à 4 pans : Elle est composée d'un toit à quatre pans inclinés, permettant d'apporter de la lumière dans les pièces sous les toits. Elle est esthétique et offre une solution efficace pour augmenter l’éclairage naturel. Elle est souvent utilisée sur les bâtiments anciens ou dans les rénovations.
- Lucarne à bâtière : C'est une ouverture traditionnelle avec un toit à deux versants, très répandue dans les constructions anciennes et modernes. Elle permet d'éclairer les combles tout en s'intégrant harmonieusement dans une toiture à forte pente. Elle est fonctionnelle et esthétique.
- Lucarne à capucine : Elle possède un toit en pente douce, légèrement arrondie, qui rappelle la forme d’un capuchon de capucin. Elle apporte une touche esthétique tout en permettant l’éclairage des greniers aménagés. Ce type de lucarne est souvent utilisé dans les maisons anciennes ou de caractère.
- Lucarne à chevalet : Elle possède un un toit plat ou à faible pente. Elle est souvent utilisée dans les constructions classiques françaises. Elle permet de maximiser l’espace dans les pièces logées sous les toits tout en offrant un apport de lumière. Son design est simple mais très efficace.
- Lucarne à croupe : Son toit se termine par une croupe, c’est-à-dire une pente inclinée sur ses trois côtés. Elle est à la fois esthétique et fonctionnelle, apportant lumière et charme à une toiture tout en offrant une protection renforcée contre les intempéries.
- Lucarne à deux pans : Elle possède un toit à deux versants. Elle est généralement utilisée pour éclairer et ventiler les combles. Ce modèle est simple et efficace, fréquemment employé dans les habitations traditionnelles. Il s’adapte parfaitement aux toitures à pente moyenne ou forte.
- Lucarne à foin : De petite taille, elle est souvent présente dans les granges ou bâtiments agricoles, utilisée pour aérer ou permettre le passage du foin. Son design rustique est fonctionnel, mais elle apporte aussi un charme authentique aux bâtiments ruraux.
- Lucarne à fronton : Elle est surmontée d’un fronton décoratif, souvent en triangle ou en arc. Elle est très esthétique et couramment utilisée dans les bâtiments classiques. Il permet d'apporter une touche architecturale distinctive tout en éclairant les combles.
- Lucarne à gâble : Elle possède un pignon en forme de gâble, souvent employée dans l’architecture gothique. Elle offre une touche architecturale distinctive tout en permettant l'éclairage des combles. C'est un choix élégant pour les bâtiments anciens ou rénovés.
- Lucarne à guitare ou guitarde: Elle est de forme arrondie dans sa partie basse et droite en haut, rappelant la forme d’une guitare. Elle est principalement utilisée pour son aspect décoratif dans des bâtiments anciens ou de style baroque. Elle ajoute du cachet à une toiture.
- Lucarne à jouées galbées : Elle possède des côtés (ou jouées) courbées, d'une forme galbée qui la rend très élégante. Elle est souvent utilisée pour ajouter une touche décorative tout en apportant de la lumière dans les combles. Il est couramment utilisé dans les maisons anciennes.
- Lucarne à pavillon : Elle est dotée d'un toit en pavillon, composé de quatre pans inclinés. Elle est généralement utilisée pour apporter de la lumière dans les combles tout en ajoutant une touche élégante à la toiture. Très esthétique, il est souvent retrouvé dans les maisons de style classique.
- Lucarne capucine : Elle possède une toiture arrondie, appelée ainsi en raison de sa ressemblance avec un capuchon de moine. Elle est souvent placée dans les maisons anciennes pour apporter de la lumière tout en ajoutant une touche architecturale charmante.
- Lucarne chapeau de gendarme : Elle possède un toit en forme d’arche arrondie, et est souvent utilisée dans les bâtiments anciens. Son design distinctif, rappelant le chapeau des gendarmes, apporte une touche d'élégance tout en étant fonctionnel pour l'éclairage des combles.
- Lucarne feunière : Cette ouverture de petite taille est utilisée traditionnellement dans les granges pour l'aération et le stockage du foin. Son aspect rustique et fonctionnel en fait un élément clé des bâtiments agricoles. Aujourd'hui, elle est parfois reprise dans des bâtiments modernes pour des raisons esthétiques.
- Lucarne gerbière : Petite ouverture dans une toiture, traditionnellement utilisée pour faire passer le bois ou les gerbes de blé dans les combles. Elle est courant dans les bâtiments agricoles. Elle combine fonctionnalité et simplicité.
- Lucarne houteau : Elle possède deux pans avec une faible pente, souvent utilisée dans les maisons de campagne. Elle permet d’éclairer les combles tout en ayant une forme discrète et fonctionnelle. Elle est fréquemment utilisée dans les régions rurales.
- Lucarne jacobine : Elle possède un toit à deux versants, très utilisée dans l'architecture classique française. Elle est fonctionnelle pour l'apport de lumière dans les combles tout en étant élégante. Elle se retrouve fréquemment sur les bâtiments de style Haussmannien.
- Lucarne meunière : Elle possède un toit en pente douce, utilisée pour apporter de la lumière dans les espaces aménagés sous la toiture, souvent visible dans les moulins et bâtiments ruraux. Elle est à la fois pratique et charmante, s’adaptant à l'architecture des zones rurales.
- Lucarne œil-de-bœuf : Petite fenêtre ronde ou ovale insérée dans une toiture pour éclairer les greniers aménagés. Elle est utilisée à des fins décoratives et fonctionnelles dans de nombreux bâtiments anciens. Très prisée dans l’architecture française classique.
- Lucarne pendante : Elle est constituée d'un toit incliné vers le bas, souvent utilisée dans les constructions anciennes. Elle permet de diriger la lumière vers l’intérieur tout en offrant une protection contre les intempéries. Son design est fonctionnel et élégant.
- Lucarne rampante : Elle est construite dans le prolongement de la pente du toit, souvent avec une inclinaison similaire. Elle permet d'éclairer les greniers aménagés tout en restant discrète et intégrée à la toiture. Très utilisée dans les bâtiments à toit pentu.
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- Mansarde : La mansarde est un type de toiture brisée à deux versants, où la pente inférieure est plus raide que la pente supérieure. Elle permet d’augmenter l’espace habitable sous le toit, notamment dans les greniers aménagés, et est couramment associée à l'architecture classique française.
- Membrane d'étanchéité : La membrane d'étanchéité est un film souple et imperméable, souvent en bitume ou en matière synthétique, appliqué sur les toits plats ou inclinés pour éviter les infiltrations d’eau. Elle est essentielle pour protéger les toits des intempéries et prolonger leur durée de vie. On peut également procéder à un rechapage en cas de rénovation d’étanchéité.
- Moisé (assemblage) : Type d'assemblage où deux pièces identiques sont fixées de part et d'autre d'une poutre centrale pour la renforcer. Cet assemblage permet d'augmenter la résistance de la structure sans en modifier la forme. Très utilisé dans les charpentes pour répartir les charges.
- Moisement : Technique de renforcement d'une charpente où deux poutres identiques sont fixées de part et d'autre d'une pièce centrale, comme un entrait. Cela permet de renforcer la structure sans en modifier la forme. Très couramment utilisé dans les charpentes traditionnelles pour accroître leur solidité.
- Mortaise (assemblage tenon-mortaise) : Méthode d'assemblage traditionnelle utilisée en charpenterie, où une pièce de bois, appelée tenon, est insérée dans une cavité, appelée mortaise. Cet assemblage est très solide et souvent utilisé dans les constructions en bois, notamment les charpentes.
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- Naissance de gouttière : Partie initiale de la gouttière, là où les eaux de pluie s’écoulent pour la première fois depuis la toiture. C'est un élément clé du système d’évacuation des eaux pluviales, qui doit être bien installé pour éviter les débordements ou les fuites.
- Neige (arrêt de) : Dispositif installé sur les toitures inclinées pour retenir la neige et éviter qu'elle ne glisse en masse sur les trottoirs ou zones en contrebas. Il est essentiel dans les régions à fort enneigement pour prévenir les risques d'accidents ou de dégradations.
- Neige (bec à) : Dispositif en métal ou en tôle placé sur le toit pour retenir la neige et éviter qu’elle ne tombe en masse. Il protège ainsi les piétons et les structures situées sous la toiture. Souvent utilisé dans les régions montagneuses.
- Neige (garde) : Système de protection installé sur le toit pour empêcher la neige accumulée de tomber brusquement. Il est très utile pour prévenir les accidents et les dommages causés par la chute de neige. Ce type de dispositif est courant dans les régions sujettes à de fortes chutes de neige.
- Noue : La noue est l'angle rentrant formé par la rencontre de deux pans de toit inclinés. Elle crée un creux où les eaux de pluie s’écoulent naturellement, nécessitant une attention particulière pour l’étanchéité. La noue est l'un des points les plus sensibles d'une toiture en raison de l'accumulation d'eau, et elle est souvent recouverte de tuiles spécifiques, de zinc ou d'un autre matériau pour garantir une évacuation efficace et prévenir les infiltrations dans les jonctions des pans de toit.
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- Panne : La panne est une poutre horizontale en bois ou en métal, soutenue par les fermes de charpente, qui supporte les chevrons. Elle constitue une des principales structures d'une charpente et contribue à la solidité et à la stabilité de la toiture.
- Pare-vapeur : Le pare-vapeur est une membrane installée sous la couverture ou l’isolation pour empêcher la vapeur de pénétrer et d'endommager l’isolation ou la structure. Il permet de maintenir la qualité de l’air intérieur et prévient les problèmes de condensation.
- Piédroit : Le piédroit est un élément vertical, souvent en pierre ou en bois, qui supporte une ouverture, comme une fenêtre. Il sert à renforcer la structure autour de cette ouverture, notamment dans la toiture et les murs porteurs.
- Planche de rive : La planche de rive est une planche en bois, métal ou PVC qui couvre la partie apparente des chevrons le long des rives du toit. Elle protège les extrémités de la charpente des intempéries et améliore l’esthétique de la toiture.
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- Rive : La rive désigne le bord d'un toit, là où un versant de toiture rejoint un mur ou un pignon. Les rives sont souvent protégées par des tuiles de rive ou des bandeaux métalliques pour empêcher l’eau de pénétrer sous la couverture.
- Rive de toit : La rive de toit est la partie du toit située sur les bords, là où le versant rencontre les murs latéraux ou les pignons. Elle nécessite une finition soignée pour protéger la toiture des infiltrations et garantir la durabilité de la couverture.
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- Sarking : Technique d’isolation thermique par l’extérieur, consistant à poser des panneaux isolants rigides directement sur la charpente, avant de recouvrir le toit de tuiles ou d’ardoises. Ce procédé est utilisé lors de la réfection de toitures pour améliorer l’isolation sans modifier l’intérieur.
- Shakes : Plaquettes de bois fendues utilisées pour couvrir les toits, similaires aux bardeaux. Elles sont couramment employées dans les régions où le bois est un matériau traditionnel de couverture. Elles offrent une excellente isolation et une résistance naturelle aux intempéries.
- Solin : Le solin est une pièce d’étanchéité en métal (généralement en zinc, plomb ou aluminium) ou en mortier, utilisée pour assurer l'étanchéité entre la toiture et les éléments verticaux comme les cheminées, les murs, ou les fenêtres de toit. Il empêche les infiltrations à ces jonctions critiques. Les solins sont indispensables pour protéger la charpente et les murs contre les dégâts causés par les intempéries et prolonger la durée de vie de la toiture.
- Sous-arbalétrier : Pièce de charpente placée sous l'arbalétrier pour renforcer l'ensemble et assurer une meilleure répartition des charges. Cet élément est crucial pour les grandes structures en charpente traditionnelle, offrant stabilité et résistance aux contraintes.
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- Talon : Le talon est un élément de finition, souvent décoratif, utilisé au bas des descentes de gouttière ou des éléments de couverture. Il permet de masquer les raccords et améliore l'esthétique des finitions.
- Terrasson : Le terrasson est la partie supérieure, la moins inclinée, d'une toiture à deux pans ou à la Mansart. Il est généralement plus plat et assure l’étanchéité et la solidité du toit tout en permettant une meilleure gestion des eaux pluviales.
- Tavaillon : Planchette de bois fendue ou sciée, utilisée pour recouvrir les toits ou les murs dans certaines régions comme la Savoie. Ce matériau naturel est durable et esthétique, offrant une isolation efficace. Il est souvent employé dans les constructions traditionnelles de montagne.
- Tavillon : Plaquette de bois utilisée pour le bardage et la couverture des toitures, similaire au tavaillon. Ce matériau est durable et résistant aux intempéries, offrant une solution écologique et esthétique pour la protection des bâtiments. Très répandu dans les régions alpines.
- Tenon-mortaise : Technique d'assemblage traditionnel où le tenon (extrémité d'une pièce de bois) est inséré dans une mortaise (cavité) taillée dans une autre pièce. Cet assemblage est solide et utilisé depuis des siècles dans les constructions en bois, notamment pour les charpentes.
- Tuile à côte : Tuile en terre cuite avec des rainures prononcées qui augmentent son étanchéité. Utilisée principalement sur les toits à faible pente, elle permet une bonne évacuation de l'eau. Sa structure lui confère une grande résistance aux intempéries.
- Tuile à douille : Tuile spécialement conçue avec une ouverture pour le passage de conduits d'aération ou d'antennes. Elle est essentielle pour la ventilation des combles ou l’installation d’équipements techniques. Sa pose permet de maintenir l’étanchéité de la toiture.
- Tuile à emboîtement (ou mécanique) : Dotée de rainures et de nervures, elle s’emboîte facilement, facilitant la pose. Elle est souvent plus étanche que les tuiles classiques et nécessite moins de pièces par mètre carré. Très répandue dans les constructions modernes pour sa praticité.
- Tuile acier : Tôle d'acier galvanisé, souvent utilisée pour les toitures industrielles ou agricoles. Très résistante et facile à poser, elle imite parfois l’aspect des tuiles classiques.
- Tuile béton : Fabriquée à partir de mortier, cette tuile est durable, économique, et disponible dans une large gamme de couleurs. Elle est plus lourde que la tuile en terre cuite, mais offre une excellente résistance aux intempéries. Très utilisée dans les constructions modernes.
- Tuile béton plate : Variante plate de la tuile en béton, idéale pour les toitures à forte pente. Son aspect moderne et sobre la rend prisée dans les constructions contemporaines. Elle offre une bonne étanchéité et une grande résistance aux chocs.
- Tuile canal : Aussi appelée "tuile romane", elle est utilisée dans les toits à faible pente. Sa forme arrondie permet une excellente évacuation des eaux de pluie. Très populaire dans les régions méditerranéennes.
- Tuile chatière : Tuile dotée d’une petite ouverture, utilisée pour ventiler les combles. Elle est indispensable pour assurer une bonne circulation de l’air sous la toiture et éviter la condensation. Cette ventilation prévient les problèmes d'humidité sur les toits.
- Tuile diamant : Tuile de forme spécifique, souvent utilisée pour les toitures décoratives ou pour apporter une touche esthétique unique. Sa forme particulière permet de créer des motifs distinctifs sur le toit. Très appréciée dans les bâtiments historiques ou les rénovations soignées.
- Tuile de rive : Tuile utilisée pour finir les bords du toit, protégeant les extrémités contre les intempéries. Elle assure une finition propre et améliore l’étanchéité des toits. Disponible en version plate ou canal pour s’adapter aux différents styles de toiture.
- Tuile en verre : Tuile transparente permettant de laisser entrer la lumière dans les combles ou greniers. Utilisée ponctuellement sur les toits pour un éclairage naturel, elle est souvent combinée avec d'autres types de tuiles.
- Tuile faîtière : Utilisée pour couvrir la jonction entre deux pans de toit au niveau du faîtage. Elle est essentielle pour assurer l'étanchéité au sommet de la toiture. Sa forme peut être arrondie ou plate, selon le style de la toiture.
- Tuile flamande : Tuile plate avec une légère courbure, typique des régions du nord de la France et de la Belgique. Elle est utilisée pour son esthétique ondulée et sa capacité à s’adapter aux climats humides. Très appréciée pour son charme traditionnel.
- Tuile lanterne : Variante de la tuile à douille, elle permet l’installation de conduits tout en ajoutant une touche esthétique à la toiture. Sa forme élancée en fait un élément décoratif en plus de sa fonction pratique. Elle est souvent utilisée sur des toits à forte pente.
- Tuile métallique : Souvent en acier galvanisé ou en aluminium, elle est utilisée dans les bâtiments industriels ou agricoles. Elle est légère et résistante aux intempéries, mais peut être bruyante sous la pluie. Parfois, elle imite l’aspect des tuiles traditionnelles pour une touche esthétique.
- Tuile photovoltaïque : Combine la fonction de couverture et de production d’énergie solaire grâce à ses cellules intégrées. Elle est utilisée dans les maisons écologiques et les projets de construction durable. Elle est prisée pour son efficacité énergétique et son esthétique discrète.
- Tuile plate : Tuile rectangulaire fine, adaptée aux toits à forte pente. Très courante dans les régions au climat pluvieux. Utilisée pour sa simplicité de pose et sa capacité à offrir une étanchéité efficace.
- Tuile romane : Variante de la tuile canal, mais avec un emboîtement, facilitant ainsi sa pose. Utilisée dans les régions méditerranéennes, elle est appréciée pour ses qualités esthétiques et fonctionnelles. Elle présente une forme arrondie avec une face plus large que l'autre.
- Tavaillon : Plaquette de bois utilisée pour recouvrir les toits dans les régions montagneuses. Similaire aux bardeaux, il offre une excellente isolation et une esthétique naturelle. Utilisé dans les constructions traditionnelles en bois, notamment dans les Alpes.
- Tuile vernissée : Tuile en terre cuite recouverte d'une couche d’émail, utilisée principalement pour ses qualités décoratives. Elle est souvent colorée et présente sur des bâtiments historiques ou prestigieux. Très utilisée sur des monuments ou bâtiments de grande valeur architecturale.
B
C
V
- Verrière de toit : Grande fenêtre vitrée installée sur le toit, permettant un apport de lumière naturel considérable. Les verrières de toit sont souvent utilisées dans les rénovations de lofts ou d’espaces sous combles pour créer des ambiances lumineuses et modernes.
- Versant : Le versant est la surface inclinée du toit, comprise entre le faîtage et les bords du toit. Chaque toiture peut comporter plusieurs versants selon sa structure. Le versant assure l’évacuation des eaux pluviales vers les gouttières ou chéneaux.
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